Nous connaissons tous des moments de stress et d’angoisse et nous ne comprenons pas toujours, pour ne pas dire jamais, pourquoi ils disparaissent et réapparaissent, pourquoi parfois ils se fixent à long terme et pourquoi parfois dure peu de temps. Nos glandes surrénales, à chaque moment de stress, sécrètent du Cortisol qui chemine jusqu’à notre cerveau et l’accélère (le fameux petit vélo) et ainsi se déclenche le perpétuel mécanisme du serpent qui se mord la queue, plus on stresse, plus on va angoisser et plus on angoisse, plus on va stresser, seul le calme, le repos, la médiation, les anxiolytiques (malheureusement) peuvent ralentir ce mécanisme car bien des fois, il faut en arriver au sevrage médicamenteux pour empêcher les vieux démons de refaire surface.
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